Lima por primera vez
Lors du survol de Guayaquil (Equateur), je croyais être en Rhénanie ou en Mayenne champêtre. Verdure des champs, miroirs des marécages, et les fleuves imitant le Rhin dans ses courbes et méandres...
Le premier trajet à Lima réveilla des souvenirs d'Inde, avec les maisons basses le long des routes, les boutiques éclairées d'une unique ampoule, et le taxi qui manqua se faire écraser par un bus tournant brusquement sans prévenir. La suite du trajet, en collectivo, me transporta en Afrique, sur des chemins de sable, la poussiere décorant nos vêtements par les fenetres ouvertes.
J'écris d'une "banlieue" de Lima; nous avons franchit le portail délimitant la ville, et entre collines de rochers et poussières, des maisons, des familles, dans cet espace sans verdure et sans eau.
Un paysage surréaliste, une impression étrange, ma première image de Lima n'est pas celle de la Plaza de Armas ou des maisons coloniales de Miraflores, mais cet amoncellement de briques, tôles, plastiques, bois et cartons, dans la poussière et le klaxon du camion citerne.
When flying over Guayaquil (Ecuador), I felt I was in Rhenanie or in rural Mayenne. The green of the fields, the mirror of the wetland, and the rivers imitating the Rhin in the cruves and turns...
The first trip in Lima woke up memories of India, with the low houses along the roads, the small shops illiminated with a single bulb, and the taxi which nearly got crush by a bus turning brusquely without a warning. The next trip in a collectivo (small bus) carried me in Africa on sand tracks, with the dust decorating the clothes by the opened windows.
I'm writing from a "suburb" of Lima; we crossed the gate closing the city, and between hills of rocks and dust, houses, families, in the space without vegetation and water.
A surrealist landscape, a strange feeling, my first image of Lima is not the plaza de Armas or colonial houses of Miraflores, but this accumulation of bricks, sheet metal, plastics, woods and cardboxes, in the dust and the horn of the water tank truck.
Le premier trajet à Lima réveilla des souvenirs d'Inde, avec les maisons basses le long des routes, les boutiques éclairées d'une unique ampoule, et le taxi qui manqua se faire écraser par un bus tournant brusquement sans prévenir. La suite du trajet, en collectivo, me transporta en Afrique, sur des chemins de sable, la poussiere décorant nos vêtements par les fenetres ouvertes.
J'écris d'une "banlieue" de Lima; nous avons franchit le portail délimitant la ville, et entre collines de rochers et poussières, des maisons, des familles, dans cet espace sans verdure et sans eau.
Un paysage surréaliste, une impression étrange, ma première image de Lima n'est pas celle de la Plaza de Armas ou des maisons coloniales de Miraflores, mais cet amoncellement de briques, tôles, plastiques, bois et cartons, dans la poussière et le klaxon du camion citerne.
When flying over Guayaquil (Ecuador), I felt I was in Rhenanie or in rural Mayenne. The green of the fields, the mirror of the wetland, and the rivers imitating the Rhin in the cruves and turns...
The first trip in Lima woke up memories of India, with the low houses along the roads, the small shops illiminated with a single bulb, and the taxi which nearly got crush by a bus turning brusquely without a warning. The next trip in a collectivo (small bus) carried me in Africa on sand tracks, with the dust decorating the clothes by the opened windows.
I'm writing from a "suburb" of Lima; we crossed the gate closing the city, and between hills of rocks and dust, houses, families, in the space without vegetation and water.
A surrealist landscape, a strange feeling, my first image of Lima is not the plaza de Armas or colonial houses of Miraflores, but this accumulation of bricks, sheet metal, plastics, woods and cardboxes, in the dust and the horn of the water tank truck.